Depuis son élection comme chef du Parti Québécois, Pauline Marois a toutes les qualités pour devenir la première femme chef d'un gouvernement provincial au pays. Oui, elle a occupé pratiquement tous les postes ministériels clés tels que les Finances, l'Éducation et
Par contre, je ne peux pas mettre de coté les bourdes qu'elle a commise dans les gouvernements qu'elle a participé telles que l'application de la taxe aux échecs scolaires pour le CEGEP en 1997 et le désordre dans le système de santé sous les politiques du Déficit Zéro tel que prêché par le premier ministre à l'époque, Lucien Bouchard.
Mais, s'il y a quelque chose qui pourrait embêter Mme Marois, ce n'est pas l'affaire du château construit à l'Ile Bizard, mais bel et bien ses déboires avec la langue de Shakespeare. Je peux comprendre qu'elle l'a apprise sur le tard et qu'elle apprend à le pratiquer avec ses enfants, mais c'est quand même important qu'un chef du gouvernement québécois doit maitriser l'anglais. Comment va-t-elle faire, dans les prochains mois ou dans les prochaines années si elle devient première ministre, si elle participe à des rencontres avec ses homologues du reste du Canada et avec les représentants de l'establishment politique étasunienne?
Ça commence bien pour vous Mme Marois !
Wednesday, October 17, 2007
Do you Speak English ? L'handicap qui peut hanter Pauline Marois
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